17 septembre 2013 :
Comme je suis un peu à cours de finances le temps de me racheter un appareil photo, j'ai mis de côté la restauration de la carrosserie de la Sinpar...
Mais c'est une bonne chose car cela me permet de m'occuper un peu de la TL qui en a bien besoin.
Et oui, souvenez-vous, fin novembre 2010 une des charnières de coffre avait cédé et depuis cette date le coffre était condamné en attente de pouvoir soit le faire réparer soit de le réparer moi-même.
Or comme j'avais toutes les pièces et outils disposition et je me suis dit qu'il valait mieux que je tente la réparation moi-même plutôt que de le faire faire par un professionnel pour un prix relativement élevé (entre 200 et 300 €uros a priori) et un résultat pas forcement irréprochable.
Armé d'une perceuse muni d'un foret à dépointer ainsi que d'un petit burin et d'un marteau je me suis donc attelé à retirer la partie toujours en place de la charnière de hayon. C'était clairement l'étape la plus compliquée car il importait de ne pas (trop) abîmer les tôles se trouvant derrière. Mais avec un peu de patience et de douceur j'ai fini pas m'en sortir pas trop mal.
Ensuite j'ai préparé les surfaces pour la soudure en ponçant correctement pour ôter toute trace de rouille puis en recouvrant les faces en contact d'une couche de soudo-cuivre sensé empêcher la rouille de se repropager entre les tôles tout en permettant la soudure contrairement à d'autres traitement antirouille.
C'est à cette étape que je me suis alors rendu compte que j'étais dans l'obligation de déposer le ciel de toit en plastique pour avoir accès à la partie interne de la jonction entre le toit et le montant du hayon. Ce qui ne c'est malheureusement pas fait sans quelques éclats de peinture aussi bien sur le ciel de toit (car je l'avais repeint en blanc) que sur les montants…
Après cette dépose malheureuse j'ai pu protéger le faisceau électrique de la chaleur et enfin m'attaquer à la soudure de la nouvelle charnière...
Bon, certes le résultat n'est pas propre, mais c'est solidement fixé et j'ai la satisfaction de l'avoir fait moi-même, justifiant ainsi la piètre qualité esthétique des soudures
.
Pour finir après ponçage des soudures, j'ai passé dans l'ordre une couche de Rustol Owatrol, une couche d'apprêt en bombe, du mastic polyuréthane afin d'étanchéifier correctement les raccords entre les tôles et enfin une autre couche d'apprêt en bombe (le tout en respectant bien les temps de séchage entre chaque couche de produit!).
Pour éviter les mauvaises surprises je vais rouler comme cela quelques temps afin que la charnière se mette bien en place puis je poncerai le tout comme il se doit au 800 à l'eau avant de repasser un voile de peinture.
Remarque Importante (25/11/21) : On me demande souvent où j'ai trouvé ma charnière neuve car apparemment ce défaut est fréquent sur ce modèle de charnière. La charnière de cet article avait été achetée chez Renault à l'époque où il restait encore du stock d'origine. Malheureusement cette pièce n'est maintenant plus disponible en neuf et elle n'est pas non plus refabriquée (à l'heure où j'écris ces lignes)...
Comme je suis un peu à cours de finances le temps de me racheter un appareil photo, j'ai mis de côté la restauration de la carrosserie de la Sinpar...
Mais c'est une bonne chose car cela me permet de m'occuper un peu de la TL qui en a bien besoin.Et oui, souvenez-vous, fin novembre 2010 une des charnières de coffre avait cédé et depuis cette date le coffre était condamné en attente de pouvoir soit le faire réparer soit de le réparer moi-même.
Or comme j'avais toutes les pièces et outils disposition et je me suis dit qu'il valait mieux que je tente la réparation moi-même plutôt que de le faire faire par un professionnel pour un prix relativement élevé (entre 200 et 300 €uros a priori) et un résultat pas forcement irréprochable.
Armé d'une perceuse muni d'un foret à dépointer ainsi que d'un petit burin et d'un marteau je me suis donc attelé à retirer la partie toujours en place de la charnière de hayon. C'était clairement l'étape la plus compliquée car il importait de ne pas (trop) abîmer les tôles se trouvant derrière. Mais avec un peu de patience et de douceur j'ai fini pas m'en sortir pas trop mal.
Ensuite j'ai préparé les surfaces pour la soudure en ponçant correctement pour ôter toute trace de rouille puis en recouvrant les faces en contact d'une couche de soudo-cuivre sensé empêcher la rouille de se repropager entre les tôles tout en permettant la soudure contrairement à d'autres traitement antirouille.C'est à cette étape que je me suis alors rendu compte que j'étais dans l'obligation de déposer le ciel de toit en plastique pour avoir accès à la partie interne de la jonction entre le toit et le montant du hayon. Ce qui ne c'est malheureusement pas fait sans quelques éclats de peinture aussi bien sur le ciel de toit (car je l'avais repeint en blanc) que sur les montants…
Après cette dépose malheureuse j'ai pu protéger le faisceau électrique de la chaleur et enfin m'attaquer à la soudure de la nouvelle charnière...Bon, certes le résultat n'est pas propre, mais c'est solidement fixé et j'ai la satisfaction de l'avoir fait moi-même, justifiant ainsi la piètre qualité esthétique des soudures
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Pour finir après ponçage des soudures, j'ai passé dans l'ordre une couche de Rustol Owatrol, une couche d'apprêt en bombe, du mastic polyuréthane afin d'étanchéifier correctement les raccords entre les tôles et enfin une autre couche d'apprêt en bombe (le tout en respectant bien les temps de séchage entre chaque couche de produit!).Pour éviter les mauvaises surprises je vais rouler comme cela quelques temps afin que la charnière se mette bien en place puis je poncerai le tout comme il se doit au 800 à l'eau avant de repasser un voile de peinture.
Remarque Importante (25/11/21) : On me demande souvent où j'ai trouvé ma charnière neuve car apparemment ce défaut est fréquent sur ce modèle de charnière. La charnière de cet article avait été achetée chez Renault à l'époque où il restait encore du stock d'origine. Malheureusement cette pièce n'est maintenant plus disponible en neuf et elle n'est pas non plus refabriquée (à l'heure où j'écris ces lignes)...