Apprêt antirouille phosphatant
Toit de la fourgonnette :
Avant de commencer les travaux de carrosserie j'ai réalisé un essai de dépose de Rustol CIP sur le toit de la fourgonnette.
Celui-ci était en effet bien attaqué par une rouille de surface. J'ai donc poncé toute la zone avec du papier grain 150 et je n'ai bien sûr pas hésité à aller jusqu'au métal sur les zones avec de la corrosion.
J'ai donc ensuite appliqué une couche de Rustol CIP (faisant office d'apprêt phosphatant antirouille) à l'aide d'un pistolet à peinture. Le résultat est discutable (j'ai fait quelques de coulures et il y a 2 ou 3 bestioles qui sont venues se mettre dedans...) mais il y aura un nouveau ponçage avant de mettre une belle couche d'apprêt garnissant.
Celui-ci était en effet bien attaqué par une rouille de surface. J'ai donc poncé toute la zone avec du papier grain 150 et je n'ai bien sûr pas hésité à aller jusqu'au métal sur les zones avec de la corrosion.
J'ai donc ensuite appliqué une couche de Rustol CIP (faisant office d'apprêt phosphatant antirouille) à l'aide d'un pistolet à peinture. Le résultat est discutable (j'ai fait quelques de coulures et il y a 2 ou 3 bestioles qui sont venues se mettre dedans...) mais il y aura un nouveau ponçage avant de mettre une belle couche d'apprêt garnissant.
L'essai avec le Rustol CIP sur le toit étant concluent, de long mois après (le temps de finir les travaux de carrosserie) j'ai réalisé la même opération sur le reste de la coque.
Après un ponçage avec du papier P150 voir P240, j'ai déposé une fine couche de Rustol CIP en me focalisant sur les zones où j'avais dû poncer jusqu'à la tôle nue ou aux endroits avec d'anciennes traces de corrosion. Cela représente quand même une grande partie de la carrosserie extérieure, notamment sur le côté gauche.
Après un ponçage avec du papier P150 voir P240, j'ai déposé une fine couche de Rustol CIP en me focalisant sur les zones où j'avais dû poncer jusqu'à la tôle nue ou aux endroits avec d'anciennes traces de corrosion. Cela représente quand même une grande partie de la carrosserie extérieure, notamment sur le côté gauche.
La couche de peinture est nettement plus belle que pour le toit et je n'ai pas fait de coulures grâce à un meilleur réglage du pistolet (c'est le métier qui rentre). Par contre pour les insectes qui sont venu se coller dessus je n'ai rien pu faire...
En guise de finition, sur les tous petits points de rouille et les zones difficiles d'accès au pistolet (notamment à l'intérieur), je me suis contenté d'appliquer le Rustol CIP au pinceau.
En guise de finition, sur les tous petits points de rouille et les zones difficiles d'accès au pistolet (notamment à l'intérieur), je me suis contenté d'appliquer le Rustol CIP au pinceau.
Une fois le Rustol bien sec (après + 6 de jours de séchage) j'ai appliqué du joint polyuréthane pour étanchéifier la carrosserie. J'en ai bien évidement reposé partout où il y en avait à l'origine mais aussi à d'autres endroit dans le but totalement assumé de masquer quelques défauts par ci par là, notamment au niveau de la charnière supérieure des montants de porte avant.
J'allais enfin pourvoir appliquer ma couche d'apprêt sur la coque! Mais avant cela j'ai réalisé un petit déglaçage du Rustol CIP à l'aide d'un tampon abrasif "Mirka Mirlon Ultrafine".
Il n'est normalement pas obligatoire de déglacer le Rustol avant application de l'apprêt mais par sécurité j'ai tout de même préféré le faire. A noter par exemple que je n'avais pas déglacé le Rustol avant de peindre le châssis et que même au bout de 8 ans ça n'avait pas bougé (car oui, il s'est passé 8 années entre la peinture du châssis et la pose de l'apprêt sur la coque...).
Il n'est normalement pas obligatoire de déglacer le Rustol avant application de l'apprêt mais par sécurité j'ai tout de même préféré le faire. A noter par exemple que je n'avais pas déglacé le Rustol avant de peindre le châssis et que même au bout de 8 ans ça n'avait pas bougé (car oui, il s'est passé 8 années entre la peinture du châssis et la pose de l'apprêt sur la coque...).
J'ai ensuite bâché mon garage, dégraissé toute la coque avec de l'essence F puis j'ai d'appliqué mon apprêt garnissant. Et voilà, ma 4L commence enfin à ressembler à quelque chose!
Ouvrants :
Pour le traitement des corps creux j'ai utilisé du Rustol CIP et un vieux bidon de corps creux afin de pouvoir y monter le pistolet qui vas bien.
J'ai donc abondamment arrosé l'intérieur puis j'ai laissé couler tout ce qui était en trop. Le travail n'est pas très propre (on peut même dire que c'est un véritable massacre) mais au moins j'espère avoir réussi à tout traiter.
J'ai donc abondamment arrosé l'intérieur puis j'ai laissé couler tout ce qui était en trop. Le travail n'est pas très propre (on peut même dire que c'est un véritable massacre) mais au moins j'espère avoir réussi à tout traiter.
Pour l'extérieur, avant de pouvoir commencer le traitement des portières, il restait des traces de colle et des morceaux de joints à retirer. Malheureusement sur le haut de la portière droite tout cela cachait une belle zone de corrosion. Après avoir découpé tous ce qui était bouffé par la rouille, j'ai (encore une fois) ressorti le MIG pour souder une rustine fraichement refabriquée. Et je ne suis pas peu fière de ma soudure, même s'il est dommage que ce ne soit qu'à la fin de la restauration que j'ai enfin commencé à faire du travail correct...
Une fois ce petit contretemps soldé, les portières et le girafon reçoivent une belle couche de Rustol CIP.
Suite à un mauvais réglage du pistolet et un éclairage de la zone de travail pas très adapté, la couche déposée s'est avérée être très épaisse et par conséquent j'ai fait pas mal de coulures. Mais comme il était prévu un ponçage par la suite ce n'était pas vraiment grave, j'ai juste bien pris le temps de laisser le CIP sécher correctement.
Suite à un mauvais réglage du pistolet et un éclairage de la zone de travail pas très adapté, la couche déposée s'est avérée être très épaisse et par conséquent j'ai fait pas mal de coulures. Mais comme il était prévu un ponçage par la suite ce n'était pas vraiment grave, j'ai juste bien pris le temps de laisser le CIP sécher correctement.
Après 7 bon jour de séchage je suis donc passé au ponçage du Rustol CIP. Pour ce faire J'ai utilisé du papier grain P240 (car c'était ce qui était conseillé sur la notice de mon apprêt garnissant) ainsi que ma ponceuse orbitale toute neuve.
Le résultat est globalement très satisfaisant, les dernières retouches éventuelles seront faites après ponçage de l'apprêt garnissant.
Le résultat est globalement très satisfaisant, les dernières retouches éventuelles seront faites après ponçage de l'apprêt garnissant.
Il ne restait plus qu'à refaire les joint polyuréthane sur tout le pourtour de la portière afin d'empêcher les infiltrations d'eau.
Comme pour tout le reste de la voiture (châssis + carrosserie) j'ai utilisé du joint polyuréthane 3M (⇒ référence 08694 pour la couleur noire).
Comme pour tout le reste de la voiture (châssis + carrosserie) j'ai utilisé du joint polyuréthane 3M (⇒ référence 08694 pour la couleur noire).
Pour l'apprêt, même mode opératoire que pour la coque : dégraissage à l'essence F puis pose de l'apprêt garnissant au pistolet.
Il y a quelques défauts de carrosserie qui sont malheureusement encore visible (ou plus visible que prévu) mais je les reprendrai après un premier ponçage.
Il y a quelques défauts de carrosserie qui sont malheureusement encore visible (ou plus visible que prévu) mais je les reprendrai après un premier ponçage.
Suite de la restauration...