Renault 4 Découvrable Heuliez

Heuliez est une société Française issue dans les années 1920 d'une affaire familiale de charronnage. Elle se spécialise rapidement dans la fabrication d'autobus et la carrosserie pour tous types de véhicules. Depuis les années 1970, Heuliez s’était aussi spécialisé dans l'étude et la fabrication de prototypes pour les constructeurs et la production de petites séries. La filiale Heuliez Automobiles de Cerizay cesse définitivement son activité le 31 octobre 2013.
Parmi ses créations, en 1981 Heuliez propose une déclinaison de la R4 : La Renault 4 Découvrable.
Sur ce prototype, la Renault 4 est équipée d’une bâche qui tombe jusqu’au milieu de la face arrière. La caisse est alors renforcée à l’aide de deux arceaux transversaux afin de pallier à l’absence d’un toit en dur qui participe grandement à la rigidité du véhicule.
Heuliez est très confiant dans son travail et pense pouvoir obtenir l’accord de Renault afin de commercialiser cette Renault 4 Découvrable. L’entreprise réalise donc une étude de commercialisation, édite des documents publicitaires et propose le projet clé en main à Renault au cours de l’année 1981, tout en présentant dans le même temps son prototype lors du salon de Genève. Cependant Heuliez essuie un refus de la part de la régie Renault et la Renault 4 Découvrable ne sera jamais mise en production.
L’unique prototype a été retrouvé à l’abandon à Marseille dans les années 90 chez un responsable d’une société qui avait acheté des bus à Heuliez. Elle a depuis été restaurée et appartient à un collectionneur privé. Cette unique voiture a reçu son homologation à titre isolé le 1er Décembre 1981 à la Drire de Niort.
Heuliez est très confiant dans son travail et pense pouvoir obtenir l’accord de Renault afin de commercialiser cette Renault 4 Découvrable. L’entreprise réalise donc une étude de commercialisation, édite des documents publicitaires et propose le projet clé en main à Renault au cours de l’année 1981, tout en présentant dans le même temps son prototype lors du salon de Genève. Cependant Heuliez essuie un refus de la part de la régie Renault et la Renault 4 Découvrable ne sera jamais mise en production.
L’unique prototype a été retrouvé à l’abandon à Marseille dans les années 90 chez un responsable d’une société qui avait acheté des bus à Heuliez. Elle a depuis été restaurée et appartient à un collectionneur privé. Cette unique voiture a reçu son homologation à titre isolé le 1er Décembre 1981 à la Drire de Niort.
Photos d'époque du prototype R4 Découvrable :
Photos de la R4 Découvrable présente au 3ème 4L International de 2011 :
Remarque : on peux remarquer que cette R4 Découvrable présente des différences avec les photos d'époque de Heuliez, notamment l'absence des protections latérales sur les portières et quelques nuances sur les points d'ancrage de la bâche. Pourtant il s'agirait bien de la 4L découvrable d'origine, celle-ci ayant reçu une homologation à titre isolée après sa restauration. C'est donc un exemplaire unique!
A tout hasard, si le propriétaire de cette 4L Découvrable passe par là et souhaite échanger avec moi, ou si d'autres personnes ont des renseignements à propos de cette 4L, n'hésitez pas à m'écrire à |
Renault 4 Parisienne




Durant cette opération 4 200 lectrices de Elle vont essayer pendant 48 heures des R4 Super "La Parisienne" peintes couleur laquée noir avec cannage de couleur paille ou écossais vert ou rouge.

Sur les modèles produits en série le cannage de la trappe d'aération sera supprimé ainsi que le cannage de la partie supérieur des portes et ailes arrière. Les filets colorés suivant la courbe de caisse ou autour de la calandre seront eux aussi supprimés.
Le modèle 1964 sera vendu 6 610 Francs. Pour comparaison la R4L Super était alors vendue 6 350 Francs.
En dehors des modifications mécaniques appliquées à toutes la gamme, la Renault 4 Parisienne n'aura le droit pour le modèle 1965 qu'à l'ajout d'un nouveau coloris en cours d'année : le bleu marine 414. Cette année là la Parisienne était vendue 6 250 Francs.

Elle peut recevoir un moteur 680-02 de 4CV et sera du type R1120 ou un moteur 800-01 de 5CV et sera du type R1123.
En juillet 1966 l'intérieur de la Parisienne reçoit de multiples modifications :
- nouveau tableau de bord beige foncé avec monogramme Renault dans la cartouche et les vides poches et muni de trois interrupteurs à bascule pour essuie glace, ventilation et code-phares
- nouveau un volants à deux branches couleur marron avec moyeu centrale rectangulaire gravé du losange Renault
- tablette arrière de série
- nouveau dessin de siège avant et arrière avec garnitures à piqûres parallèles
- nouveaux panneaux de portes à empreintes rectangulaires
Le modèle de 1966 était vendu 6 460 Francs.
Le modèle de 1967 vendu 6580 Francs n'a pas connu de modification notables hormis l'arrivée de deux nouveaux coloris : le vert 939 et le bordeaux 721.
En octobre 1967 la Parisienne reçoit les mêmes modifications mécaniques et esthétiques que les autres Renault 4 berlines de l'année modèle 1968. Parmi ces modifications on retiendra principalement : la nouvelle calandre élargie encadrant les phares, les nouveau pare-choc à butoir et la nouvelle boite de vitesse type 334 à 4 vitesses synchronisées impliquant la modification de la traverse avant.
La parisienne disparaît du catalogue le 15 mai 1968 au moment du lancement de la Plein-Air.
En octobre 1967 la Parisienne n'était plus disponible qu'en Vert 951 et était vendue 6 680 francs avec peinture métallisée sans cannage et 6 780 Francs avec cannage.
Renault Rodéo 4 et 6


Ce véhicule construit sur la base d'une Renault 4 fourgonnette R2106 munies de l'option "Équipements piste" est un habile mélange entre pièces de grandes séries et pièces rapportées, limitant ainsi les coûts de production.
La Rodéo reprend donc le châssis, le tablier et les joues d'ailes de la Renault 4 tandis que la carrosserie est en fibre de verre, moulée artisanalement.
Cette carrosserie est rivetée sur les éléments structurels de la plate forme : joues d'aile et tablier pour l'avant, structure en profilé carré visé sur des points d'ancrage du châssis pour l'arrière, montant métallique riveté à la plateforme pour les cotés,… La conception utilise même des éléments en bois puisque le hayon arrière est rigidifié par une structure bois et sa face interne est en contre-plaqué. Le pare brise est quand à lui rabattable et se fixe sur le capot à l'aide d'une lanière en cuir.
Niveau motorisation la Rodéo est équipée avec le moteur Billancourt 845 cm3 (30 ch SAE) de la Renault 4L avec comme particularité un alternateur couplé à un ampèremètre sur le tableau de bord pour remplacer l'habituelle dynamo.

- Évasion ⇒ Pas de bâche, ni de portières, ni de chauffage
- Chantier ⇒ Bâche uniquement sur le poste de pilotage, pas de portières ni de chauffage
- Coursière ⇒ Bâche sur l'intégralité de la surface mais sans rideaux latéraux. Présence d'une banquette arrière avec dossier amovible. Toujours pas de portières, ni de chauffage.
- Quatre-Saisons ⇒ Bâche intégrale avec rideaux latéraux fenêtrés, portières et chauffage présent. Présence d'une banquette arrière avec dossier amovible.
En septembre 1970 les charnières des portières sont dissimulées et ne sont plus apparentes à l'extérieur du véhicule.
En septembre 1971, les pare-chocs en plastique sont remplacés par des pare-chocs métalliques. Le moteur gagne en puissance avec l'installation d'un moteur type 800-02 (34 ch SAE) et la dynamo vient remplacer l'alternateur. Sur la Quatre-Saisons la forme des fenêtres de la bâche intégrale change.

La Rodéo 6 reprend la plateforme et la mécanique de la Renault 6 R1181 avec des freins à disque à l'avant et moteur Cléon 1 108cm3 (50ch SAE). La carrosserie est toujours en plastique mais sa forme est résolument différente (seules les ailes arrière sont communes avec la Rodéo 4). Elle est déclinée avec les même finitions que la Rodéo 4 : Évasion, Chantier, Coursière et Quatre-Saisons.
Parallèlement la Rodéo 4 reçoit le moteur dépollué 800-05, de nouveaux optiques arrière empruntés à l'Estafette et de nouvelles portières plus volumineuses.
Ce n'est cependant qu'en janvier 1973 que la Rodéo 6 est commercialisée.
En septembre 1973 les Rodéo 4 et les Rodéo 6 sont déclinées dans une nouvelle finition : l'Artisanale qui est un modèle 2 places avec bâche, portes et rideaux latéraux mais sans fenêtres. Conjointement la Rodéo 4 reprend la même boite de vitesse 354-28 que la Rodéo 6 en remplacement de la 354-11.
En septembre 1974 la Rodéo 4 suit l'évolution des Renault 4 et échange son réservoir de 26 litres par le nouveau modèle d'une capacité de 34 litres. On note aussi la mise en place d'un signal de détresse sur les Rodéo 4 et 6 ainsi que l'apparition d'une option Hard-top avant avec ou sans glaces latérales pour la Rodéo 6.
En septembre 1975 l'alternateur reprend sa place sur la Rodéo 4 qui peut d'ailleurs maintenant recevoir et l'option Hard-top.
En juillet 1976 le logo Renault apparaît pour la première fois sur les calandres des Rodéo 4 et 6 et le hayon perd sa structure en bois qui sera remplacée par une structure en polyester. De nouveaux clignotants de forme triangulaire sont montés sur la Rodéo 4.

En juillet 1979 la Rodéo 4 reprend les feux arrière de la fourgonnette F6. Parallèlement la Rodéo 6 adopte une carrosserie complètement nouvelle et est montée avec un moteur 7CV de 1289 cm3 emprunté à la Renault 5.
En Juillet 1981 les Rodéo 4 et 6 sont remplacées par la Rodéo 5.
Renault 4 Sinpar 4x4

La Renault 4 quatre roues motrices communément appelée Renault 4 Sinpar n'est pas à proprement parler une série spéciale puisqu'il s'agit d'une transformation réalisable sur n'importe quel modèle de la gamme (séries spéciales comprise) à partir de 1962 et ce jusqu'en 1993.
Historique de l'entreprise Sinpar

Outre les camions, Sinpar était surtout connu du grand public pour ses transformations en 4×4 des automobiles Renault : Renault Goélette pour l'armée, Renault 4, Renault Rodéo, Renault Estafette, Renault 6 et Renault 12. Sinpar a aussi produit pour Renault l'éphémère Renault 4 "Plein air".
Les performances et la qualité des transformations n'est plus a prouver :
- en décembre 1975, une Renault 12 break Sinpar Gordini prend le départ du rallye Côte d'Ivoire/Côte d'Azur et se classe 3e à Nice
- en 1976, deux Renault 12 Sinpar 1800 sont engagées encore une fois au même rallye Côte d'Ivoire/Côte d'Azure et se classent 1ère et 11ème
- en 1979, une Renault 4 Sinpar pilotée par les frères Marreau a couru le Paris Dakar et a terminé 5ème, puis 3ème en 1980
Les Renault 4 Sinpar
Le premier modèle de Renault 4 quatre roues motrices est présenté au Salon de l'Auto en octobre 1962 avec l'approbation et la validation de la Régie Renault sous le numéro d'homologation n°394. C'est donc la Régie Renault qui se chargera de la distribution et de l'entretien des véhicules transformés par Sinpar.
- L'adjonction d'un renvoi de mouvement au niveau du nez de boite
- La mise en place de 3 arbres de transmission sous le châssis afin de transférer le mouvement de la boite de vitesse au pont arrière
- La mise en place du pont arrière à la place du réservoir d'essence (qui prendra alors la place de la roue de secours après modification de la goulotte de remplissage)
- La modification des moyeux de train arrière afin qu'ils puissent recevoir les arbres de transmission du pont
- La modification de certaines pièces (carter de protection moteur,...) et ajout de renforts divers (renfort du châssis pour fixation des arbres de transmission, carter de protection du réservoir,...)
⇒ Pour plus de détails se référer à l'article détaillée sur la transformation Sinpar.
Dans un premier temps le kit Sinpar sera principalement monté sur les R4L Super R1123 qui apparaissent en septembre 1963 ainsi que sur les R2104 puis sur R2106. Ces Différents véhicules étaient donc tous montés avec un moteur 800-01 et une boite 3 vitesses type 328 donc le couple conique d'origine en 8x33 était remplacé par celui de la R3 en 7x31.

Le prix de la transformation était à cette époque de 3 988 Francs, à rajouter bien sûr aux 6 350 Francs que coutait la R4L Super. Peu de particuliers pouvaient s'offrir la transformation et les premiers clients étaient donc principalement des administrations et des entreprises de travaux publics.
Par la suite la société Sinpar a continué de proposer des améliorations de son kit et à l'adapter en fonction des évolutions de la Renault 4 :
- adaptation du kit sur la nouvelle boite de vitesse type 334 apparue en octobre 1967
- modification des trains arrière pour montage de deux roulements au lieu d'un en 1967
- accouplement entre le pont et la transmission assuré par un croisillon et non plus un flector à partir de 1968
- ajout d'un désengagement du pont via une manette à coté du siège conducteur en 1968
- modification des commandes de désengagement du pont et de la boite vers 1969 (commande unique à plusieurs positions sous le tableau de bord coté passager avec ajout de deux témoins lumineux de crabotage)
- adaptation du kit sur la nouvelle boite de vitesse type 354 apparue en septembre 1973 et impliquant la modification du pont (sens de rotation inversé)
- adaptations de cardans homocinétique à l'arrière (identique au train avant) en juin 1979
- modification des commandes de désengagement du pont et de la boite (2 manettes et leur témoins lumineux montées dans un carter positionné entre les sièges avant)
En 1975 la société passe dans le giron de Renault Véhicules Industriels et petit à petit la production vas être transférée au sein d'une autre filiale : la SOMAC (SOciété de Montage Autos Camion) installée au 514 rue Aristide Briand à Verneuil sur Avre dans l'Eure.
On ne connait pas le nombre de transformations 4x4 réalisées par Sinpar durant toutes ces années.
Merci à Daniel pour la documentation Sinpar qu'il a eu la gentillesse de m'envoyer.
Renault 4 JP4


Car Système propose à ses clients de transformer n'importe quelle Renault 4 (berline ou fourgonnette) en JP4 à condition que le châssis de la R4 d'origine soit suffisamment sain et au début de l'été 1981 l'entreprise parvient à obtenir l'homologation Nationale de la JP4 (avant cela chaque JP4 faisait l'objet d'une réception à titre isolé par la DRIRE).
Malgré la bonne volonté des deux dirigeants l'entreprise déposera son premier bilan en 1983.
Gérald Maillard quitte alors l'entreprise qui est rachetée par des personnalités Redonnaises et la société, alors renommée Car Système Style, reprend son activité jusqu'au deuxième dépôt de bilan en 1984. C'est alors Patrick Faucher quitte l'entreprise tandis que Gérald Maillard y revient.
Le nouveau Patron Yves Rousteau décide d'essayer d'obtenir l'homologation Européenne pour la JP4 avec l'aide de son technicien Philippe Guillouet, ce qui permettrait de fabriquer des JP4 à partir de châssis neufs et non plus via des 4L d'occasions.
Cette homologation est obtenue (non sans difficultés) en 1986 et la JP4 est alors proposée "clef en main" directement dans le réseau Renault et les affaires semble repartir du bon pied avec la commande de 600 JP4 par Renault Italie.
Malgré cela la production s'arrête en 1988 et l'entreprise fait faillite en 1989, l'obtention de l'homologation Européenne ayant finalement peut être coûté plus d'argent qu'elle n'en a rapporté.
Gérald Maillard quitte alors l'entreprise qui est rachetée par des personnalités Redonnaises et la société, alors renommée Car Système Style, reprend son activité jusqu'au deuxième dépôt de bilan en 1984. C'est alors Patrick Faucher quitte l'entreprise tandis que Gérald Maillard y revient.
Le nouveau Patron Yves Rousteau décide d'essayer d'obtenir l'homologation Européenne pour la JP4 avec l'aide de son technicien Philippe Guillouet, ce qui permettrait de fabriquer des JP4 à partir de châssis neufs et non plus via des 4L d'occasions.
Cette homologation est obtenue (non sans difficultés) en 1986 et la JP4 est alors proposée "clef en main" directement dans le réseau Renault et les affaires semble repartir du bon pied avec la commande de 600 JP4 par Renault Italie.
Malgré cela la production s'arrête en 1988 et l'entreprise fait faillite en 1989, l'obtention de l'homologation Européenne ayant finalement peut être coûté plus d'argent qu'elle n'en a rapporté.
Étapes de transformation d'une banale 4L en JP4 par Car Système :
- désossage et découpe du châssis qui sera amputé de 270mm au niveau du plancher arrière
- traitement et peinture du châssis puis remontage en règle avec des trains rehaussés : 21 cm de hauteur sous coque (contre 18 pour une berline normale)
- remontage de la carrosserie amputée de son toit avec seuil polyester + longerons longitudinaux en acier + hayon arrière en polyester avec support de roue de secours + élargisseurs d'ailes (en fonction du modèle ou des options choisies)
- pose d'un arceau 6 points afin que la JP4 garde sa rigidité
- montage des accessoires en fonction du modèle ou des options choisies : sièges baquets, pare-chocs tubulaires, phare longue portée, pneu 165/70/13 sur jantes aciers "Sports" (Delta Mics), volant sport, levier de vitesse au plancher, capot-ailes monobloc en polyester,…
Cette transformation permet ainsi à la JP4 de perdre environ 80kg (augmentant sensiblement son rapport poids-puissance) mais aussi de réduire son rayon de braquage qui passe alors de 9,75m pour la R4 à 8,25 pour la JP4.
Les premières JP4 étaient considérées administrativement comme des modèle 2 places mais pouvait toutefois être livrées avec une banquette d'appoint. Après l'homologation Européenne, elles étaient livrées soit en 2 places, soit en 4 places avec une banquette dos à la route.
Trois versions de la JP4 seront proposées mais les options associées à chaque modèle seront sévèrement revues en 1986 après l'obtention de l'homologation Européenne :
La Belle-Ile : c'est le modèle "de base".
Avant 1986 elle n'a pas d'options et sa capote (baptisée "bâche été") ne permet pas de rouler par temps pluvieux. Elle est tout de même montée avec des pare-chocs tubulaires. A partir de 1986, elle perd les pare-chocs tubulaires.
La Nœud Pap : c'est le modèle milieu de gamme.
Avant 1986 elle comprenait de série des sièges baquets, des élargisseurs d'ailes en polyester, une calandre spécifique à "gros bâton", des pare-chocs tubulaires, des jantes en acier blanc (Delta Mics) montées en 165/70/13, un phare de manœuvre orientable fixé sur le capot. A partir de 1986 elle perd ses pare chocs tubulaires, son phare de manœuvre et sa calandre spécifique.

Avant 1986 elle avait entre autre une carrosserie avant (capot +ailes) monobloc en polyester, un phare de manœuvre orientable fixé sur le capot, un levier de vitesse au plancher, des feux arrières de Renault 4 F6,… A partir de 1986 elle perd le capot monobloc et le phare de manœuvre et ne se distingue plus autant des autres modèles en dehors des pare-chocs tubulaire et de la calandre spécifique qu'elle est la seule à garder.
A noter que la carrosserie de la JP4 a su évoluer tout au long de sa carrière, comme en témoigne par exemple les "portières" apparues en 1988 visible entre autre sur la JP4 Nœud Pap de Winnie l'ourson (alias Nicolas) ci-dessous en bleu :
Personne ne connaît le nombre d'exemplaires de JP4 qui ont été livrées durant les 8 années d'existences de la société Car Système mais on estime que ce nombre se situe entre 1 500 et 2 000 exemplaires.