Remise en route pour passage du contrôle technique
Comme annoncé lors de la news anniversaire du 13 avril 2017, je m'était donné comme objectif début de l'année 2017 de faire passer le contrôle technique à ma Fiat 500 avant la catastrophique réforme du CT de mai 2018, ceci afin d'obtenir une carte grise et pouvoir commencer ma restauration sereinement. En accord avec mon contrôleur, ce passage impliquait donc à minima une voiture capable de rouler par elle-même (avec quelqu’un au volant bien sûr) et freinant suffisamment pour être utilisée à vitesse réduite sans danger .
J'ai donc commencé timidement au début du printemps à démonter les freins afin d’estimer l'état de la mécanique et les réparations à effectuer...
N'ayant pas rencontré de problèmes particuliers (genre casse de vis ou écrou grippé à mort) j'ai mis de côté cette partie de la remise en route pour m'attaquer directement au morceau potentiellement le plus ardu : le redémarrage du moteur.
Pour rappel les moteurs n'avaient pas tourné depuis au moins 10 ans puisque j'avais acheté les Fiat en 2008 et qu'elles étaient déjà "stockées" depuis quelques années. J'avais tout de même vérifié qu'ils n'étaient pas bloqués et qu'on pouvait les faire tourner à la main.
Sur les 2 moteurs en ma possession j'ai donc choisis de faire redémarrer celui d'origine car le second étant un moteur de Fiat 126 sa repose demanderait quelques modifications (au niveau des arbres de transmission principalement).
Apprenant de mes erreurs passées, plutôt que de commencer tête baissée sans réfléchir, je m'étais organisé un petit plan de bataille pour permettre le redémarrage du moteur sans rien oublier et (si possible) sans rien casser :
Dans la mesure du possible mon but était de limiter le plus possible l'achat de pièce neuve pour le moment.
J'ai donc commencé timidement au début du printemps à démonter les freins afin d’estimer l'état de la mécanique et les réparations à effectuer...
N'ayant pas rencontré de problèmes particuliers (genre casse de vis ou écrou grippé à mort) j'ai mis de côté cette partie de la remise en route pour m'attaquer directement au morceau potentiellement le plus ardu : le redémarrage du moteur.
Pour rappel les moteurs n'avaient pas tourné depuis au moins 10 ans puisque j'avais acheté les Fiat en 2008 et qu'elles étaient déjà "stockées" depuis quelques années. J'avais tout de même vérifié qu'ils n'étaient pas bloqués et qu'on pouvait les faire tourner à la main.
Sur les 2 moteurs en ma possession j'ai donc choisis de faire redémarrer celui d'origine car le second étant un moteur de Fiat 126 sa repose demanderait quelques modifications (au niveau des arbres de transmission principalement).
Réfection et redémarrage du moteur
Grace aux nombreux sites internet et forums dédiés aux Fiat 500 et dérivés la dépose du moteur fut une relative partie de plaisir. Il convenait cependant de retirer l'épaisse couche de boue et de graisse qui le recouvrait afin de pouvoir poursuivre dans de meilleures conditions. 90 minutes, 4 litres d'essence, 2 brosses à dents et 3 bières plus tard on y voyait déjà plus clair :Apprenant de mes erreurs passées, plutôt que de commencer tête baissée sans réfléchir, je m'étais organisé un petit plan de bataille pour permettre le redémarrage du moteur sans rien oublier et (si possible) sans rien casser :
- Démontage, nettoyage et contrôle du démarreur ✔
- Démontage et nettoyage du filtre centrifuge ✔
- Changement de la courroies de Dynamo ✔
- Remplissage du moteur et de la boite de vitesse avec de l'huile neuve ✔
- Démontage, nettoyage et contrôle du carburateur ✔
- Contrôle de la sonde de pression d'huile
- Changement des bougies
- Remplacement des durites d'essence avec filtre neuf
- Contrôle de la bobine d'allumage
- Démontage, nettoyage et contrôle de l'allumeur
- Premiers essais...
- Démontage et nettoyage du filtre centrifuge ✔
- Changement de la courroies de Dynamo ✔
- Remplissage du moteur et de la boite de vitesse avec de l'huile neuve ✔
- Démontage, nettoyage et contrôle du carburateur ✔
- Contrôle de la sonde de pression d'huile
- Changement des bougies
- Remplacement des durites d'essence avec filtre neuf
- Contrôle de la bobine d'allumage
- Démontage, nettoyage et contrôle de l'allumeur
- Premiers essais...
Dans la mesure du possible mon but était de limiter le plus possible l'achat de pièce neuve pour le moment.
Démarreur :
Les premiers essais du démarreur n'étant pas concluent je l'ai démonté entièrement afin de le nettoyer et de contrôler l'état des charbons.
Tout semblait en ordre et sans usures prononcées donc j'ai remonté l'ensemble et tenté de nouveau de le faire tourner, avec succès ce coup-ci.
Tout semblait en ordre et sans usures prononcées donc j'ai remonté l'ensemble et tenté de nouveau de le faire tourner, avec succès ce coup-ci.
Démontage et nettoyage du filtre centrifuge (et plus si affinités) :
Sur la Fiat 500 point de filtre à huile "conventionnel" à cartouche mais un filtre centrifuge : l'huile provenant de la pompe entre dans le filtre en tournant rapidement et la force centrifuge plaque les impuretés sur l’extérieur du filtre. L'huile "filtrée" passe ensuite à travers le vilebrequin. Niveau entretien il faut juste le démonter et le nettoyer tous les 10 000 km environ. Remarquant lors du démontage un bruit suspect dans le carter de distribution j'ai pris sur moi de déposer celui-ci afin de vérifier l'état de la chaîne.
J'avais d'ailleurs découvert que quelques jours plus tôt en faisant des recherches qu'il n'y avait pas de tendeur de chaîne sur les moteurs de Fiat 500. Ce sont en effet des masselottes fixées sur chaque maillon de la chaîne qui font office de tendeur par l'effet de la force centrifuge.
J'avais d'ailleurs découvert que quelques jours plus tôt en faisant des recherches qu'il n'y avait pas de tendeur de chaîne sur les moteurs de Fiat 500. Ce sont en effet des masselottes fixées sur chaque maillon de la chaîne qui font office de tendeur par l'effet de la force centrifuge.
Une fois le carter de distribution démonté j'ai découvert à l'intérieur des traces d'usinage typique d'une chaîne trop détendues.
J'ai donc récupéré celle de mon deuxième moteur qui par chance était identique mais semblait en meilleure forme, puis j'ai remonté le tout à la pâte à joint.
L'opération n'a pas été vaine car les bruits suspicieux avaient disparu lors des premiers essais de rotation à la main.
J'ai donc récupéré celle de mon deuxième moteur qui par chance était identique mais semblait en meilleure forme, puis j'ai remonté le tout à la pâte à joint.
L'opération n'a pas été vaine car les bruits suspicieux avaient disparu lors des premiers essais de rotation à la main.
Changement de la courroie de dynamo :
Le filtre centrifuge est remis en place sur son support servant aussi de poulie d'entrainement de la courroie. Après nettoyage et dérouillage succinct de la poulie positionnée sur la dynamo, j'y ai monté une courroie neuve.
Remarque : la dynamo elle-même ne servira pas pour le moment mais sa poulie permet (via l'axe de la dynamo) la rotation de la turbine de refroidissement du moteur.
Remarque : la dynamo elle-même ne servira pas pour le moment mais sa poulie permet (via l'axe de la dynamo) la rotation de la turbine de refroidissement du moteur.
Remplissage du moteur et de la boite de vitesse avec de l'huile neuve :
Les vidanges du moteur et de la boite de vitesse avaient été réalisées avant dépose. Les huiles vidangées semblaient saines (pas d'humidité ou de limaille à l'intérieur) ce qui était un signe encourageant quant à l'état et l'entretien du moteur. Prévoyant un démontage complet du moteur lors de la future restauration je me suis contenté d'utiliser des huiles "1er prix" en prenant soin cependant à respecter les viscosités préconisées.
Pour bien nettoyer le carter j'ai utilisé 2,5 litres d'huile pour faire un "rinçage" du moteur (en faisant couler l'huile en direct à travers le bloc) puis j'ai fait le niveau avec les 2.5 litres restant.
Pour finir, le remplissage de la boite de vitesse à lui aussi été réalisé (par débordement).
Pour bien nettoyer le carter j'ai utilisé 2,5 litres d'huile pour faire un "rinçage" du moteur (en faisant couler l'huile en direct à travers le bloc) puis j'ai fait le niveau avec les 2.5 litres restant.
Pour finir, le remplissage de la boite de vitesse à lui aussi été réalisé (par débordement).
Démontage, nettoyage et contrôle du carburateur :
Afin de le nettoyé de tous les dépôts d'essence vielle de plus de 10 ans j'ai entièrement démonté et nettoyé le carburateur. Son état semble tout à fait correct mais comme je n'ai pas changé les joints au remontage, il y a de grandes chances qu'il se mette à fuir comme un panier lors des essais...
Contrôle de la sonde de pression d'huile :
A suivre... Un jour peut être...Rapatriement des Fiat 500
Presque 5 ans après leur achat j'ai enfin pris le temps d'aller chercher mes Fiat 500 pour les ramener à la maison. Après de longues heures de réflexion sur les différentes possibilités qui s'offrait à moi pour le rapatriement j'ai décidé pour assurer le coup cela se ferai en deux fois.
Pour le premier voyage J'ai donc loué un camion de 15m3 afin de pouvoir ramener une des 2 voitures ainsi que toutes les pièces détachées. C'est le coté pratique des pots de yaourt : ça rentre dans un camion de 15m3. Bon certes c'est un peu juste au niveau des passages de roues du camion car il n'y a que 1 à 5 cm de marge (en fonction des camions) mais en longueur il y a plus de 30 cm de rab.
Une grosse étape était réalisée : les roues tournaient de nouveau mais l'état des pneus ne permettait pas de charger la voiture dans le camion. Je suis donc parti en chasse de pneus en R12 avec chambre à air mais ce coup-ci je suis revenu brocouille (comme on dit dans le Bouchonnoie).
Afin de pouvoir aller chercher la 2nde Fiat 500, je me suis remis en chasse de pneus et chambres à air neufs afin de les monter sur les jantes que j'avais démontées.
Et hop rebelote, sauf que cette fois ci j'ai loué un camion de 12m3 (Fiat Ducatto).
La carrosserie de la Fiat 500 bleue a été déplacée dans le garage afin de la protéger de l'hiver et la Fiat 500 rouge a ainsi pris sa place dans le fond du jardin pour une durée indéterminée...
Suite de la restauration...
Pour le premier voyage J'ai donc loué un camion de 15m3 afin de pouvoir ramener une des 2 voitures ainsi que toutes les pièces détachées. C'est le coté pratique des pots de yaourt : ça rentre dans un camion de 15m3. Bon certes c'est un peu juste au niveau des passages de roues du camion car il n'y a que 1 à 5 cm de marge (en fonction des camions) mais en longueur il y a plus de 30 cm de rab.
Une fois sur place je me suis attelé à démonter les freins de la Fiat 500 complète afin de pouvoir la déplacer. Comme cela faisait sûrement plus d'une dizaine d'années que les roues n'avaient pas tournées les garnitures étaient littéralement soudées par la rouille sur les tambours. Ce fut loin d'être une partie de plaisir mais avec un bon extracteur à griffe et l'aide de mon beau-frère nous avons finalement réussi à extraire les 4 tambours. Malheureusement dans la bataille nous avons tordu un flasque et abîmé un filet de train avant .
Comme il n'était pas possible de remettre l'écrou de roue sur le filet abîmé, je suis alors parti en chasse d'une filière M14x150 (déjà pas évident à trouver) durant un week-end prolongé de pentecôte (histoire de rajouter du challenge). J'ai trouvé mon bonheur à la quincaillerie Jacquard à la Roche-sur-Foron que je remercie encore.
Une grosse étape était réalisée : les roues tournaient de nouveau mais l'état des pneus ne permettait pas de charger la voiture dans le camion. Je suis donc parti en chasse de pneus en R12 avec chambre à air mais ce coup-ci je suis revenu brocouille (comme on dit dans le Bouchonnoie).
Qu'à ne cela ne tienne, je suis passé au plan B : nous avons chargé la carrosserie de la Fiat 500 déjà démontée ainsi que les pièces dans le camion.
Puis, comme elle allait gêner pour la réalisation de travaux d'assainissement, nous avons déplacé la Fiat 500 rouge à l'aide d'un tirefort puis je l'ai délestée de ses jantes et abandonnée sur cales le temps de revenir la chercher avec des pneus neufs.
Puis, comme elle allait gêner pour la réalisation de travaux d'assainissement, nous avons déplacé la Fiat 500 rouge à l'aide d'un tirefort puis je l'ai délestée de ses jantes et abandonnée sur cales le temps de revenir la chercher avec des pneus neufs.
Quelques 600 kilomètres plus tard la première Fiat 500 prenait place au fond de mon jardin et un nouveau tas de pièces venait encombrer mon atelier pour un temps indéterminé.
Afin de pouvoir aller chercher la 2nde Fiat 500, je me suis remis en chasse de pneus et chambres à air neufs afin de les monter sur les jantes que j'avais démontées.
Ce n'est que sur Internet que j'ai pu trouver mon bonheur, les magasins de pneus ayant pignon sur rue n'ayant pas cette taille de pneus à leurs catalogues.
Tans qu'à faire j'ai donc entrepris de monter les pneus moi-même afin de faire l'économie du montage et de l'équilibrage (plus qu'inutile dans le cas présent).
Comme souvent j'ai gentiment galéré sur le premier pneu puis une fois la technique en main le montage des 3 autres roues fut d'une facilité déconcertante.
Bon, certes dans la bataille j'ai mis un coup de tournevis dans une chambre à air et j'ai du en recommander une autre en urgence… mais on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs.
Tans qu'à faire j'ai donc entrepris de monter les pneus moi-même afin de faire l'économie du montage et de l'équilibrage (plus qu'inutile dans le cas présent).
Comme souvent j'ai gentiment galéré sur le premier pneu puis une fois la technique en main le montage des 3 autres roues fut d'une facilité déconcertante.
Bon, certes dans la bataille j'ai mis un coup de tournevis dans une chambre à air et j'ai du en recommander une autre en urgence… mais on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs.
Et hop rebelote, sauf que cette fois ci j'ai loué un camion de 12m3 (Fiat Ducatto).
Mais comme rien n'est simple je me suis rendu compte une fois sur place que j'avais omis de laisser les écrous de roue sur les tambours… Je ne suis vraiment pas le dernier des cons quand j'y mets du mien.
Heureusement que ma sœur avait dans son atelier quelques vis de diamètre adéquat qui, une fois coupées à la bonne longueur, ont parfaitement remplacées celles d'origine afin de remettre les jantes en place.
Heureusement que ma sœur avait dans son atelier quelques vis de diamètre adéquat qui, une fois coupées à la bonne longueur, ont parfaitement remplacées celles d'origine afin de remettre les jantes en place.
En dehors d'une pluie battante le chargement s'est passé sans difficultés grâce à 2 planches faisant office de rampe. Il ne restait plus qu'à arrimer la voiture solidement dans le camion afin qu'elle ne décide pas de s'en échapper pendant le voyage. La route du retour et le déchargement (de nuit) se sont passé là aussi sans encombres.
La carrosserie de la Fiat 500 bleue a été déplacée dans le garage afin de la protéger de l'hiver et la Fiat 500 rouge a ainsi pris sa place dans le fond du jardin pour une durée indéterminée...
Suite de la restauration...
Achat des Fiat 500
Contrairement à ce qu'on pourrait imaginer ce n'est pas la 4L mais la Fiat 500 la voiture de mes rêves. Je crois que depuis tout petit j'ai toujours souhaité d'en avoir une (en fait ce n'est pas tout à fait vrai, car vers 13 ans je rêvais surtout d'une Game Boy). Disons en tout cas que j'ai toujours trouvé cette petite voiture excellente, non seulement par sa forme générale mais aussi beaucoup pour le coté "pot de yaourt" qui me fait bien marrer.
Suite de la restauration...
Bref, lorsqu'au printemps 2008 ma sœur Marylène me demande pour déconner si je ne voulais pas acheter les deux Fiat 500 que son patron cédait, j'ai tout de suite sauté sur l'occasion. D'autant que deux jours plus tard elle m'annonce que le prix fixé est de 500€ le tout, c'est-à-dire : une Fiat 500 complète + une autre entièrement démontée mais a priori complète + une carte grise (appartenant à l'une ou l'autre des Fiat 500) + quelques pièces de carrosserie neuves (planchers, longerons,…) + une carte grise de Fiat 500 Jardinière dont je ne pouvais par contre rien faire (mais je l'ai prise quand même ceci dit...).
Sachant qu'à la même époque une épave de Fiat 500 tout juste restaurable avec carte grise valait dans les 1000€ (si si, sans rire), j'ai commencé à organiser l'achat et le rapatriement des mes deux petits bijoux sans tarder avant que le propriétaire ne reviennent sur sa décision.
Il y avait cependant deux légers problèmes : d'une part les voitures hibernaient en Haute-Savoie à plus de 500 kilomètres de chez moi et d'autre part je n'avais pas de place où les entreposer, mais bon finalement ce n'était que des détails qui n'allaient tout de même pas m'empêcher de faire main-basse dessus.
Sachant qu'à la même époque une épave de Fiat 500 tout juste restaurable avec carte grise valait dans les 1000€ (si si, sans rire), j'ai commencé à organiser l'achat et le rapatriement des mes deux petits bijoux sans tarder avant que le propriétaire ne reviennent sur sa décision.
Il y avait cependant deux légers problèmes : d'une part les voitures hibernaient en Haute-Savoie à plus de 500 kilomètres de chez moi et d'autre part je n'avais pas de place où les entreposer, mais bon finalement ce n'était que des détails qui n'allaient tout de même pas m'empêcher de faire main-basse dessus.
Du coup à l'occasion d'une semaine de vacances chez Marylène (ma sœur susmentionnée), je suis allé y jeter un coup d'œil afin de m'assurer que je n'étais pas en train de m'enflammer pour deux gros tas de rouilles bons pour la ferraille et une caisse de boulons oxydés. Force était de constater que ce n'étais heureusement pas le cas. Car sans être de toute première jeunesse, les Fiat 500 ne semblaient pas particulièrement attaquées par la rouille. De plus celle qui était démontée semblait réellement complète à vu de nez à part une aile la calandre avant.
Après quelques semaines de réflexion, de discussions et de négociations, j'ai enfin pu trouver un week-end pour retourner chez ma sœur afin d'effectuer la transaction. Les Fiat 500 seront finalement déménagées chez elle à seulement quelques kilomètres de distance grâce à l'aide précieuse d'un de ses amis qui possédait une remorque. Il faut donc bien dire qu'entre le stockage et déplacement des autos, Marylène et Thomas m'ont quand même grandement aidé et je les en remercie au passage car sans eux ce serait ma mère qui aurait héritée de deux épaves dans son jardin (en plus de la F4).
Elles sont restées 5 années soigneusement bâchées en attendant patiemment que je trouve une maison avec un grand garage afin de pouvoir les rapatrier et enfin m'occuper d'elles comme elles le méritent.
Suite de la restauration...